***************
***********************************
QUE FAIRE DE NOS DECHETS ?
Sur le site d' AST67
( http://www.ast67.org/fr/accueil.html )
Lien vers l'article :
http://www.ast67.org/som_ast/enquete_ast/compost.htm
Ce travail a été réalisé par le Docteur Nathalie Delaunay, médecin du travail à AST67
(Thèse de médecine sous la direction du Docteur Perdrix, CHU Grenoble).
Cette thèse est disponible à l’AST du Bas - Rhin. Un résumé d'une vingtaine de pages avec la bibliographie est disponible sous format PDF(75 Ko), http://www.ast67.org/PDF/compostage.pdf
lisible par Acrobat Reader
que vous pouvez télécharger gratuitement. ICI
Le Puy-en-Velay le 9 juillet 2009
Monsieur le Président,
Monsieur le Ministre d'Etat, Ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire m'a transmis votre correspondance du 11 mai 2009 relative au projet de création d'un centre de tri et d'enfouissement de déchets ménagers et industriels à Saint-Beauzire.
Depuis plusieurs mois, la presse locale se fait l'écho d'un projet de centre de tri et d'enfouissement de déchets ménagers et industriels banals sur la commune de St-Beauzire par le groupe Pizzorno.
Je vous informe qu'à ce jour, aucune demande d'autorisation d'exploiter un centre d'enfouissement technique sur cette commune n'a été déposée dans mes services par le groupe Pizzorno. Dans l'éventualité où une telle demande me parviendrait, elle sera instruite conformément au code de l'environnement et, si elle était jugée recevable par l'inspecteur des installations classées pour la protection de l'environnement, le dossier serait alors soumis à enquête publique. Je vous précise que cette autorisation est accordée après avis de tous les services administratifs concernés et du conseil départemental de l'environnement et des risques sanitaires et technologiques et fait ensuite l'objet d'un arrêté préfectoral assorti de prescriptions bien définies. Ainsi, tous les aspects réglementaires socio-économiques et environnementaux locaux que vous évoquez seraient pris en compte.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'assurance de ma considération distinguée.
Richard Didier
Lien vers l'article :
http://www.developpement-durable.gouv.fr/article.php3?id_article=5409
Les décharges ne répondant pas aux normes constituent un danger pour la santé publique et pour l’environnement. Elles peuvent être à l’origine d’émissions dans l’atmosphère et d’odeurs, polluer le sol et l’eau et contaminer les eaux souterraines. Le 16 juillet 2009 marque l’échéance pour la mise en conformité avec les règles communautaires des décharges implantées dans l’Union européenne qui ne répondent pas aux normes. Les États membres sont également tenus de réduire de moitié par rapport aux niveaux de 1995 les quantités de déchets municipaux biodégradables mis en décharge.
Les États membres ont eu huit ans pour faire en sorte que les sites existant avant que la législation européenne sur les décharges ne soit applicable soient mis aux normes ou simplement fermés.
La Commission a écrit à tous les États membres pour leur rappeler les obligations qui leur incombent et pour recueillir des données sur la mise en conformité. Ceux qui sont en infraction avec la législation pourront faire l’objet d’une action en justice.
Le gaz des décharges est responsable de plus de 2 % des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union européenne
Les sites de décharge qui ne sont pas gérés correctement peuvent présenter des risques graves pour la santé publique et pour l’environnement. Les décharges sont des sources de lixiviats et de méthane. Les lixiviats, c’est-à-dire le liquide qui s’écoule d’un site de décharge, peuvent contaminer les eaux souterraines et les rendre impropres à la consommation humaine.
Les déchets biodégradables, dont font partie les déchets de jardin et de cuisine, ainsi que les déchets alimentaires, peuvent produire du méthane, gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le dioxyde de carbone qui contribue fortement au changement climatique. Le gaz des décharges est responsable de plus de 2 % des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union européenne. La directive relative aux décharges a fixé des exigences sévères pour les lixiviats et les émissions de gaz des décharges.
Objectifs de réduction pour la mise en décharge des déchets municipaux biodégradables
À partir d’aujourd’hui, les États membres doivent également réduire de moitié, par rapport aux niveaux de 1995, la quantité de déchets municipaux biodégradables qui est mise en décharge.
Cela implique qu’il convient de traiter ces déchets selon d’autres formules de gestion des déchets plus respectueuses de l’environnement, telles que le compostage ou l’incinération avec valorisation énergétique. La Commission a demandé des informations aux États membres afin de contrôler le respect de cet objectif. La prochaine étape importante est fixée à 2016, date à laquelle l’objectif de réduction passera à 65 % par rapport aux niveaux de 1995.
Les déchets biodégradables représentent environ 40 % des déchets municipaux dans l’ensemble de l’Europe. La mise en décharge reste la méthode la plus courante pour éliminer les déchets municipaux dans l’Union européenne élargie.
L’incidence négative potentielle de cette méthode d’élimination pour l’environnement est bien connue. En décembre 2008, la Commission a publié un Livre vert (voir IP/08/1879 ) en vue d’examiner la nécessité d’une nouvelle législation qui pourrait contribuer à transférer davantage de déchets biodégradables des décharges vers le recyclage et la valorisation énergétique.
Un certain nombre d’États membres qui avaient essentiellement recours à la mise en décharge en 1995 (mise en décharge de plus de 80 % des déchets municipaux) ont bénéficié d’une prorogation de quatre ans de l’échéance, qualifiée de dérogation. Ils doivent réduire cette quantité de 25 % d’ici à 2010, puis atteindre l’objectif de 50 % d’ici à 2013. Les États membres concernés sont les suivants : Bulgarie, Chypre, République tchèque, Estonie, Grèce, Irlande, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie et Royaume Uni.
Les statistiques les plus récentes, réunies en 2008, concernent les 12 nouveaux États membres et ont révélé l’existence d’environ 1 600 décharges ne répondant pas aux normes. Une image plus précise de la situation dans tous les États membres devrait émerger vers la fin de l’année, lorsque les données complètes auront été reçues. La Commission procède maintenant au contrôle de la conformité dans l’ensemble de l’Union européenne. Si des sites nationaux non-conformes aux normes européennes continuent à être exploités, la Commission envisagera une action en justice contre les États membres concernés.
Lien vers l'article :
http://www.developpement-durable.gouv.fr/article.php3?id_article=5409
Les décharges ne répondant pas aux normes constituent un danger pour la santé publique et pour l’environnement. Elles peuvent être à l’origine d’émissions dans l’atmosphère et d’odeurs, polluer le sol et l’eau et contaminer les eaux souterraines. Le 16 juillet 2009 marque l’échéance pour la mise en conformité avec les règles communautaires des décharges implantées dans l’Union européenne qui ne répondent pas aux normes. Les États membres sont également tenus de réduire de moitié par rapport aux niveaux de 1995 les quantités de déchets municipaux biodégradables mis en décharge.
Les États membres ont eu huit ans pour faire en sorte que les sites existant avant que la législation européenne sur les décharges ne soit applicable soient mis aux normes ou simplement fermés.
La Commission a écrit à tous les États membres pour leur rappeler les obligations qui leur incombent et pour recueillir des données sur la mise en conformité. Ceux qui sont en infraction avec la législation pourront faire l’objet d’une action en justice.
Le gaz des décharges est responsable de plus de 2 % des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union européenne
Les sites de décharge qui ne sont pas gérés correctement peuvent présenter des risques graves pour la santé publique et pour l’environnement. Les décharges sont des sources de lixiviats et de méthane. Les lixiviats, c’est-à-dire le liquide qui s’écoule d’un site de décharge, peuvent contaminer les eaux souterraines et les rendre impropres à la consommation humaine.
Les déchets biodégradables, dont font partie les déchets de jardin et de cuisine, ainsi que les déchets alimentaires, peuvent produire du méthane, gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le dioxyde de carbone qui contribue fortement au changement climatique. Le gaz des décharges est responsable de plus de 2 % des émissions de gaz à effet de serre dans l’Union européenne. La directive relative aux décharges a fixé des exigences sévères pour les lixiviats et les émissions de gaz des décharges.
Objectifs de réduction pour la mise en décharge des déchets municipaux biodégradables
À partir d’aujourd’hui, les États membres doivent également réduire de moitié, par rapport aux niveaux de 1995, la quantité de déchets municipaux biodégradables qui est mise en décharge.
Cela implique qu’il convient de traiter ces déchets selon d’autres formules de gestion des déchets plus respectueuses de l’environnement, telles que le compostage ou l’incinération avec valorisation énergétique. La Commission a demandé des informations aux États membres afin de contrôler le respect de cet objectif. La prochaine étape importante est fixée à 2016, date à laquelle l’objectif de réduction passera à 65 % par rapport aux niveaux de 1995.
Les déchets biodégradables représentent environ 40 % des déchets municipaux dans l’ensemble de l’Europe. La mise en décharge reste la méthode la plus courante pour éliminer les déchets municipaux dans l’Union européenne élargie.
L’incidence négative potentielle de cette méthode d’élimination pour l’environnement est bien connue. En décembre 2008, la Commission a publié un Livre vert (voir IP/08/1879 ) en vue d’examiner la nécessité d’une nouvelle législation qui pourrait contribuer à transférer davantage de déchets biodégradables des décharges vers le recyclage et la valorisation énergétique.
Un certain nombre d’États membres qui avaient essentiellement recours à la mise en décharge en 1995 (mise en décharge de plus de 80 % des déchets municipaux) ont bénéficié d’une prorogation de quatre ans de l’échéance, qualifiée de dérogation. Ils doivent réduire cette quantité de 25 % d’ici à 2010, puis atteindre l’objectif de 50 % d’ici à 2013. Les États membres concernés sont les suivants : Bulgarie, Chypre, République tchèque, Estonie, Grèce, Irlande, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie et Royaume Uni.
Les statistiques les plus récentes, réunies en 2008, concernent les 12 nouveaux États membres et ont révélé l’existence d’environ 1 600 décharges ne répondant pas aux normes. Une image plus précise de la situation dans tous les États membres devrait émerger vers la fin de l’année, lorsque les données complètes auront été reçues. La Commission procède maintenant au contrôle de la conformité dans l’ensemble de l’Union européenne. Si des sites nationaux non-conformes aux normes européennes continuent à être exploités, la Commission envisagera une action en justice contre les États membres concernés.
Lien vers l'article
http://www.lamontagne.fr/editions_locales/montlucon/des_opposants_a_la_nouvelle_decharge@CARGNjFdJSsHFBgHAhQ-.html
Cela fait des mois qu'ils se battent pour contrer l'exploitation d'un nouveau site d'enfouissement chez eux à Maillet. Sauf que les premiers camions sont arrivés hier matin. Quelques opposants tenaient le piquet à Villenue, près des bottes de paille et des panneaux « Stop ». Ils ont inauguré à leur manière la nouvelle décharge qu'ils n'ont pu empêcher. Lucien, de Givarlais, 76 ans, évoque sans détours que « les ordures n'ont pas d'odeur quand elles
Souvenez-vous : M. José Miranda est venu témoigner à notre réunion publique du 14 mars 2009.
Dès la connaissance du projet Pizzorno sur le site de Vazeillette sur la commune de Saint Beauzire les riverains des communes limitrophes de ce site ont réagi en créant l’Association de Sauvegarde de l’Environnement en Brivadois avec actuellement plus de 250 adhérents
Les responsables de l’ASEB ont multiplié les rencontres et entretiens avec les élus du Brivadois et de la Hte-Loire pour tenter de faire comprendre, et d’expliquer leur opposition à ce projet néfaste pour l’ensemble du Brivadois.
Pourquoi le président et les Vice-Présidents du Conseil Général de la Haute-Loire sont-ils pour ?
Pourquoi le maire du Puy En Velay est-il pour ?
Pourquoi le maire de Brioude, président de la Communauté de Communes du Brivadois tergiverse ?
La réunion publique du 14 mars 2009 à la Halle aux Grains de Brioude à laquelle tous les élus altiligériens concernés par ce projet étaient conviés (Maires, Sénateurs, Députés, Conseillers Généraux …) a rassemblé une assistance de 250 personnes parmi lesquelles une poignée d’élus responsables. Cette réunion a permis de faire prendre conscience des nuisances et du danger d’un tel projet pour la population Brivadoise.
Cette absence massive d’élus a été très remarquée et sera sans nul doute prise en compte pour l’avenir.
Heureusement les élus plus courageux des communes de Saint Laurent Chabreuges, Paulhac, et Cohade ont pris position contre ce projet soutenant l’action de l’ASEB en confirmant leur désaccord face aux multiples dangers de ce projet inutile
Alors pourquoi les maires de Saint Beauzire et de Saint Just sont-ils pour ?
Depuis, de commission municipale en commission de communauté de communes, les choses évoluent beaucoup trop lentement, mais il faudra faire vite car le 30 septembre 2009 la décision finale des commissions risque d’arriver un peu tard car le dossier Pizzorno est bien prêt (sondages des sols réalisés, même le tract pour informer la population a été remis au maire de Saint Beauzire).
Vous ne pouvez plus dire qu’il n’existe pas de projet!!!??
Il est encore temps de prendre position et de faire échec au projet Pizzorno comme l’ont fait les élus de la communauté de communes de Lezoux pour le site de Culhat (Puy de Dôme) en refusant cette solution sans hésitation.
3000 signataires de la pétition ont manifesté leur opposition contre ce projet et le nombre de mécontents ne cesse d’augmenter… Ceux-ci ne veulent pas des déchets du Puy en Velay chez eux (30000 t par an), et d’autres (au moins 50000 t) venus de plus loin et veulent conserver leur qualité de vie et leur santé.
A l’heure du ‘‘Grenelle de l’environnement ’’ doit-on laisser s’instaurer un tourisme des ordures du département au lieu de traiter le problème au plus près de leur production ? Ce projet est incohérent et en totale contradiction avec le ‘‘Grenelle de l’environnement’’
Un peu de courage, osez dire NON. Le Brivadois ne doit pas être la poubelle du département !!!
Les déchets des autres nous n’en voulons pas !!
NI ici, Ni ailleurs mais Autrement…
Soutenez notre action en adhérant à l’ASEB et informez vous en consultant en ligne notre blog : http://nonauxorduresasaintbeauzire.blogspot.com/
Courriel : asebrioude@laposte.net
*************
ASSOCIATION BAGNOLAISE D'INFORMATION
Faites un petit tour par l'ABI qui lutte dans le Var.
Cliquez
************************
Tout sur la manifestation du 27 juin 2009 – Voir les photos
***************
Déclaration du Président de l’ABI le 27 juin 2009
C'est